Contagion volontaire
Nous sommes le 17 mars 2020 et le COVID-19 paralyse la France et d’autres pays.
Aujourd’hui, maintenant, tout de suite, je vais volontairement faire acte de propagation.
Je vais partager une vidéo d’exemple de contagion.
Cet article va propager un message que tout le monde ne comprendra pas. Je n’en serai pas étonnée, si je tiens compte de la seule chose que les Français ont retenue de l’intervention de notre président, à savoir, que nous étions en guerre (et qu’il fallait, selon certains, vider les magasins), et que l’on pouvait sortir faire du sport ! C’est affligeant… Bref, là n’est pas le sujet.
D’ailleurs, au passage, il a été stipulé que c’est seulement autour de chez vous le sport. Sinon, évidemment tout le monde va se retrouver au même endroit. Il ne suffit pas d’être seul, mais aussi de ne pas passer derrière quelqu’un qui viendrait éventuellement de s’asseoir sur le banc que vous convoitez ou sur le muret qui vous fait de l’œil après un long temps de marche ou de course à pied et sur lequel moult personnes ont posé mains et autres fluides.
«On n’attrape pas forcément le virus»
Oui. Mais ce n’est pas exclu. Donc principe de précaution, on applique. N’oubliez pas que zéro symptôme ne signifie pas que vous n’êtes pas porteur.
Dans l’Avesta qui constitue l’ensemble des textes sacrés de la religion mazdéenne, on peut trouver le proverbe suivant bien connu :
DANS LE DOUTE, ABSTIENS-TOI.
«Il faut se garder d’agir quand on est en proie au doute.»
Si vous avez une question dont le choix de réponses implique des conséquences dramatiques, douteuses, incertaines ou encore peut provoquer des dommages collatéraux, impacter d’autres personnes, gardez-vous d’agir en individuel, pensez «groupe». On entend souvent: «Je suis libre de faire ce que je veux». Oui, à la condition que l’action en question n’interfère dans aucune autre vie et n’engage que vous.
Comment se représenter la propagation ?
C’est là que j’aimerai vous emmener à travers ce film des années 2000 aussi magnifique que triste, mais si réaliste. Si ce dernier ne vous frappe pas en ces temps de confinement, si celui-ci n’éveille ni émotion ni recul, absolument rien, alors nous ne pouvons plus rien pour vous.
La propagation peut être celle d’un virus, d’une info, d’une rumeur, d’une bonne affaire, mais aussi d’une bonne action et d’un message.
Si je souhaite vous présenter ce film, c’est parce que j’aimerais vous montrer comment un virus peut se propager au même titre qu’une bonne action. Un excellent exemple de ce que peut être la propagation et qui vous poussera, je l’espère, à rester chez vous.
Ce film s’appelle: UN MONDE MEILLEUR basé sur le roman PAY IT FOWARD (au Québec) de Catherine Ryan Hyde avec un beau casting.
Je poste ici la bande-annonce, mais j’aimerais surtout que vous regardiez ce film dans son intégralité. Il me semble qu’il est disponible sur Netflix ou en location sur certaines plateformes.
J’ai choisi de représenter la propagation sous forme positive. Cela dit, le principe reste le même que pour ce foutu coronavirus.
Si vous avez l’occasion de voir ce film où si vous l’avez déjà vu, laissez-moi vos impressions en commentaire, ça pourrait décider ceux qui ne l’ont pas encore vu.
Vous aussi, passez le relais en partageant. Ce film doit être vu. Il dure 2h03 et vous interpellera, c’est certain. Je vais moi-même le visionner encore une fois.
Pour les émotifs, je m’excuse d’avance…
Bon visionnage, et prenez soin de vous, mais aussi des autres…
Je vous retrouve sur les réseaux !