**Lecture intégrale de la nouvelle en fin d’article.**
Concours de nouvelles
C’est en octobre 2019 qu’un mail arriva dans ma messagerie, m’invitant à participer au 4e concours de nouvelles du CNFDI.
Pour rappel, quelque temps auparavant, je m’étais tournée vers ce centre afin d’entamer une formation d’écrivain public et une seconde en journalisme.
Mais santé branlante et Covid 2 020 vinrent interrompre cette nouvelle aventure. Cependant, patience me rassura, me disant de ne pas m’inquiéter et que tout finirait par reprendre son cours.
Malgré tout, ce centre national privé de formation à distance m’a offert la chance de me prêter à cet exercice que j’affectionne particulièrement : l’écriture de nouvelles.
L’excipit
C’était la principale contrainte imposée. La nouvelle devait impérativement se terminer par : «… Et il disparut pour toujours».
Cinq pages maximum en tenant compte des interlignes aérés et d’une police de caractère de 12. Le sujet traité était libre et le titre ne devait pas être révélateur. La chute devait être originale et inattendue.
Voir le détail des modalités du concours.
L’éclair…
Lorsque j’ai lu l’excipit, un univers précis et un thème très particulier se sont mis en place instinctivement dans ce dédale qui me sert de cerveau. Je me suis dit qu’il fallait que je participe à ce concours.
Seuls les dix premiers ont été primés. Je me classe 6e et reçois pour la première fois un prix pour mes écrits. Je prépare maintenant le 5e concours pour la fin d’année.
En attendant, je vous offre la lecture de cette nouvelle intitulée :
LE TRAIT.
LIRE LA NOUVELLE. Texte protégé
Et vous, avez-vous compris le sens de cette nouvelle ?